» Peuples, forêts et nature : partenariat pour la nouvelle économie climatique de la République démocratique du Congo », comprend 62 millions de dollars d’engagements de financement initial.
Ce partenariat vise entre autres la conservation et gestion des forêts de grande valeur, des tourbières et des zones clés pour la biodiversité de la RDC.
Il poursuit également comme objectif d’accroître les investissements privés dans la nouvelle économie climatique, en particulier dans les secteurs qui favorisent un développement socio-économique durable des populations locales, notamment des jeunes, des femmes et des peuples autochtones, tout en réduisant la pression sur les zones forestières.
Selon le site de l’ambassade des États-Unis en RDC qui a publié les termes de ce partenariat conclu le 02 décembre dernier au Sommet des leaders mondiaux sur le climat de la COP28, qui se déroule à Dubaï, par le gouvernement congolais et ses partenaires notamment les États-Unis d’Amérique, la France, l’Allemagne, le Royaume-Uni, la Norvège, le Bezos Earth Fund, le Seed Fund annonce sa vision.
» La nouvelle économie climatique, basée sur des forêts de grande valeur, des tourbières et des zones clés pour la biodiversité, stimule les investissements dans les infrastructures, les secteurs favorables à la nature, y compris les opportunités sur le marché international du carbone, ainsi que les moyens de subsistance et les emplois décents pour les communautés à travers le pays « , indique l’ambassade des États-Unis en RDC.
Par ailleurs, les consultations dans le cadre de ce partenariat seront lancées en 2024, l’objectif étant de les finaliser d’ici la COP30.
Elles mettront ainsi l’accent sur les emplois et les moyens de subsistance des peuples autochtones et des communautés locales, ainsi que sur la promotion et la protection de leurs droits.