Sarah Bukasa
Accusée abusivement par l’ACAJ et des hommes mal intentionnés pour avoir trahi la confiance sur le partenariat signé avec leurs homologues de la société publique COMINIERE SA, la société AVZ a tenu mordicus à éclairer l’opinion nationale devant la presse ce vendredi 15 juillet pour donner son droit de réponse.
Devant les professionnels de la plume et du micro, la société AVZ représentée par son avocat maître Christian Lukusa a balayé toutes les fausses accusations portées sur elle.
Selon les explications données par Christian Lukusa, AVZ n’a jamais abusé des cas de diriger seule la société. Il précise ce pendant qu’AVZ a privilégié de communier ensemble pour que l’État congolais les notifient.
« Nous sommes venus confirmer que notre société n’est qu’un actionnaire majoritaire. Vous devez savoir que le partenariat impliquait plusieurs conditions, mais la plus importante est que la société AVZ devait produire l’étude de faisabilité dans le délai de cinq ans. À moins de trois ans, on a présenté une étude de faisabilité et une décision a été prise au mois d’août 2020 », a répliqué la société AVZ.
Axée sur le développement du projet Manono, potentiellement l’un des plus grands gisements de pegmatite LCT riche en lithium au monde (lithium, césium, tantale), AVZ Minerals entend tirer parti de sa riche expérience en RDC et de son importante expertise en financement et de développement des projets pour faire progresser le projet Manono sur la courbe de valeur.
Rappelons que l’Association Congolaise pour l’Accès à la Justice ( ACAJ ), a dénoncé le bardage des actifs de la société publique COMINIERE portant sur ses gisements de Lithium situés dans le territoire de Manono, province de Tanganyika.
Dans ses affirmations, Maitre Georges Kapiamba avait demandé au gouvernement central d’amorcer la revisitation du contrat de l’entreprise minière DATHCOM et veiller au respect de l’article 58 de la constitution.