Route Mbuji- Mayi – Kananga : l’Office des Routes sali gratuitement, drôle de provocation à l’endroit du très dynamique DG Jeanneau Kikangala 

 

Sous la houlette de M. Jeanneau Kikangala Ngoy, Directeur général de l’Office des Routes, l’entreprise affiche, à ce jour, une santé solide voire excellente. 

Depuis que ce manager pragmatique a pris les commandes de cet Etablissement public, il a su gagner la confiance de tous, grâce à son intégrité et son engagement à mener à bien sa mission. Jamais de soupçon de détournement n’a fait jaser ni d’antivaleurs, et son travail est toujours accompli avec rigueur et motivation. Le professeur Jeanneau Kikangala s’investit pleinement dans la relance de cette entreprise publique, qui était en difficulté, afin de lui redonner un second souffle.

Le directeur général Jeanneau Kikangala a démontré, en effet, son leadership axé sur les résultats malgré quelques critiques lâches dont il fait l’objet de la part des détracteurs sans foi ni loi. Dans un article approximatif publié dans le bi-hebdomadaire Ouragan, ce média généraliste rapporte des informations sans les confronter aux sources fiables, laissant ainsi planer le doute sur la gestion du projet de réhabilitation de la route Mbuyi-Mayi – Kananga par l’Office des Routes.

En manchette du journal : « Route Mbuji- Mayi – Kananga, un échec programmé par le tandem Gisaro- Kikangala», un titre à la fois provocateur et très infidèle à la réalité, visant à satisfaire la personne qui l’a commandé, motivée principalement par le désir de ternir la réputation et l’image de marque de l’Office des Routes dirigé par Jeanneau Kikangala.

Suite à une information erronée diffusée par le Bi-hebdomadaire Ouragan, il est important de noter que ce n’est pas l’OR qui est maitre d’ouvrage délégué du projet de cette route d’envergure nationale, mais bien le Fonds de Promotion de l’Industrie qui en est à la fois le bailleur de fonds  .

Depuis le début de ce projet, aucun financement n’a été reçu par l’Office des Routes ni par son Directeur général, Jeanneau Kikangala, pour cette artère.

La suspension des travaux est due au blocage du paiement par l’Inspection Générale des Finances (IGF), qui a demandé des explications et a ordonné la suspension du paiement de 27 million dollars, qui avait été autorisé par le FPI pour la société Samcrete, une entreprise égyptienne spécialisée dans les infrastructures routières et qui exécute ce projet.

Alors que certains s’investissent dans la reconstruction de leur pays, d’autres banalisent les actes de mépris envers des hommes dont l’intégrité et la rigueur sont des principes sacrés.

Il est indéniable que Jeanneau Kikangala, en tant que leader éclairé, est peutêtre sous le feu des critiques, car en un laps de temps remarquable, son entreprise, dont il est le dirigeant, a considérablement amélioré de nombreuses routes d’importance nationale et provinciale sans oublier le nombre de ponts remis en Etat dans le cadre du contrat ave Matière S.A « à travers la République » et avec l’UNOPS « dans l’espace Grand Equateur ».

En somme, il est regrettable de constater que la quête d’une presse libre et indépendante reste un défi en République démocratique du Congo, où l’éthique et la déontologie sont souvent compromises au profit des billets verts

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