Par Jeancy Ngampuru
C’est depuis le 24 décembre 2022 que la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI) a lancé l’opération d’enrôlement et d’identification en vue d’élire en décembre de l’année en cours, de nouveaux dirigeants.
Alors que la CENI se casse en morceaux pour la réussite de ces élections, certaines personnalités dont les opposants congolais, accusent la centrale électorale de préparer une fraude.
De son côté, Denis Kadima président de la CENI, ne cesse de rappeler que le terme « glissement », ne fait pas partie de son vocabulaire.
« Notre souci d’organiser les élections en cette année reste ferme. Si nous voulions glisser, nous aurions eu beaucoup de pré-textes : d’abord le temps, ensuite d’autres facteurs que je m’abstiens d’évoquer pour ne pas perdre du temps », a t-il dit.
Et d’ajouter : « Nous avons des problèmes d’ordre général partout parce que c’est un problème d’adaptation. Qualifier cela d’une tricherie planifiée serait un raccourci assez honteux ».
Pour rappel, l’enrôlement de la première aire qui comprend 10 provinces va prendre fin le 23 janvier 2023 et le président de la CENI promet de trouver une solution pour les centres d’inscription qui avaient connu du retard lors de l’ouverture.
