La Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI) a prolongé le vote vu qu’il y avait le retard dans le déploiement de certains matériels et équipements électoraux, ayant ainsi occasionné l’ouverture tardive de quelques bureaux de vote et dépouillement.
Sur ce, le mouvement citoyen Lutte pour le Changement (LUCHA) a à travers un tweet publié ce jeudi 21 décembre, déclaré que ce « chaos électoral », ne peut rester sans conséquence.
» Ce chaos électoral prémédité ne peut rester sans conséquence politique, juridique et pénale », lit-on.
La LUCHA a souligné que Denis Kadima, président de la CENI a en plus « des désordres » vécus lors du mercredi 20 décembre, ajouté l’illégalité en prolongeant le délai du vote, en violation des lois électorales.
Il sied de rappeler que dans certains bureaux de vote, le dépouillement avait déjà commencé bien que dans d’autres, l’opération de vote va se poursuivre ce jeudi 21 décembre.