Rédaction
Sous l’égide du ministre des Hydrocarbures, Didier Budimbu, il sera organisé une deuxième table ronde regroupant les représentants du gouvernement, les communautés locales et les opérateurs pétroliers exerçant à Moanda dans le droit-fil de la vision du chef de l’État, Félix Tshisekedi.
Il s’agit de mener une réflexion en lien avec le développement de Moanda de la base au sommet.
Près de 200 participants y sont attendus en vue de passer au peigne fin les questions de développement de la cité balnéaire.
Cette table ronde a comme objectif d’évaluer les résolutions et recommandations de la précédente rencontre.
Ils plancheront sur l’identification des problèmes récurrents auxquels il faut apporter des solutions durables. En sus, préparer un projet d’arrêté ministériel portant organisation et fonctionnement des comités de concertation pour valider, au bout du compte, la planification stratégique 2022-2026 et le programme d’intervention sociale et de développement pour l’exercice 2022 sur la base du cahier de charges des communautés de concertation.
Il importe de rappeler que depuis son avènement au sommet de la nation, Félix Tshisekedi a à cœur de booster le développement tous azimuts de l’ensemble du territoire en faisant participer toutes les forces vives en général.
Et plus particulièrement cette cité côtière, qui est une des mamelles pétrolières ayant bénéficié, grâce à l’implication du ministre des Hydrocarbures de 10 millions de dollars (Équivalent de 15 % de la signature de l’avenant 9 du contrat signé avec Perenco pour contribuer à sa reconstruction dans la perspective de l’édification du port en eau profonde de Banana.
Il faut le dire, la cité de Moanda est le seul territoire pétrolier où de grandes sociétés exploitent l’or noir et cette exploitation génère de l’emploi qui naturellement permet le développement du territoire. Ce qui nécessite une excellente cohabitation entre les exploitants et les communautés locales.